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Les écogestes pour l’eau
Faites évoluer vos comportements, adoptez les gestes écologiques au quotidien et devenez acteurs du développement durable.
En binant la terre avant l'arrosage, celui-ci sera encore plus efficace.
Sous le soleil, 60% de l'eau s'évapore avant même d'avoir été absorbée par les plantes.
Réutilisez l'eau de rinçage de la salade (presque 2 litres !) pour arroser vos plantes vertes.
Impropre à la consommation humaine, l'eau de pluie peut cependant servir à l'arrosage des plantes.
Disposer écorces, graviers, etc. au pied de vos plantations préserve des mauvaises herbes et réduit l'arrosage.
Peu coûteuse et non toxique, l'eau bouillante est très efficace pour désherber les joints des dalles et pavés.
Vous favoriserez ainsi le développement de la biodiversité (flore, insectes, etc.). Vous pourrez l'alimenter avec l'eau de toiture.
Contre les limaces et les fourmis, épandez des cendres de bois ou des coquilles d’œufs pilées autour de vos cultures.
Ce procédé, moins coûteux et non toxique contrairement à un produit chimique, vous fera prendre de l'exercice !
L'eau de cuisson des pommes de terre est très efficace contre les champignons et les mauvaises herbes.
Un feu de feuilles mortes et de branches dégage inutilement du CO2... Profitez-en pour faire un compost "maison" !
Vous consommerez ainsi 4 litres par heure au lieu de 12 litres par minutes : 180 fois moins !
Cela évite d'exploiter les tourbières... pour un terreau qui n'apportera rien de plus à vos plantes !
Une douche consomme en moyenne 50 litres d'eau, un bain 3 fois plus !
Un joint défectueux sur un robinet peut vous faire gaspiller jusqu'à 100 litres d'eau par jour.
En équipant ainsi votre chasse d'eau, vous diviserez ainsi par 2 voire 3 sa consommation.
L'éventuel surcoût à l'achat est amorti par les économies d'eau et d'énergie.
Ce dispositif permet d'économiser 35% d'eau.
En réglant simultanément température et débit, vous pouvez économiser jusqu'à 10 % d’eau.
Attendez que votre lave-linge ou votre lave-vaisselle soient pleins avant de les faire fonctionner.
Nos textiles modernes ne nécessitent plus de prélavage en machine. Vous économiserez ainsi 15% d'énergie !
Trier ses déchets comme les huiles de vidange, les solvants, etc. c'est réduire la pollution de l'eau.
Préférez cette bonne vieille méthode, moins nocive qu'un aérosol et tout aussi efficace.
Les plantes telles la citronnelle, le thym, le géranium, etc. ont un effet répulsif et sont bien moins nocives qu'un aérosol.
Très utile, quand on sait qu'un robinet qui coule consomme 12 à 18 litres d'eau par minute.
Elles sont généralement moins nocives, moins chères que les lessives liquides ou en tablettes... et dosables à souhait !
Très efficace, économique et moins agressif que les détergents anti-calcaire.
Utiliser des lessives sans phosphates, en respectant les doses, contribue à lutter contre la pollution et la prolifération d'algues.
Attendez qu'il soit plein pour le mettre en marche. A noter, les vaisselles à la main sont plus coûteuses en énergie et en eau.
La préparation de sa pâte nécessite moins d'eau et d'énergie.
Une simple pile bouton peut polluer 400 000 litres d'eau.
Economie de papier = économie d'eau et d'énergie.
Le verso de vos vieilles impressions peut très bien servir de brouillon.
Dans la mesure du possible, préférez le train. Moins polluants, moins fatigants que la voiture, les TGV vous déposent au cœur des villes.
Optez pour le covoiturage pour vos déplacements. En plus de l'économie réalisée, cela permet de se relayer au volant sur les longs trajets.
Les huiles solaires forment une couche à la surface de la mer et diminuent la photosynthèse.
Respectez les tailles minimales de capture des poissons, crustacés, etc. nécessaires au renouvellement des espèces.
Les marais, tourbières, etc. sont des milieux riches mais fragiles. Pensez-y lors de vos promenades !
Promeneur, ne cueillez pas les fleurs. Vous risquez d'arracher les racines et d'empêcher la pollinisation.
Les stations de lavage ont des circuits d’évacuation des eaux usées, chargées en métaux lourds, hydrocarbures, etc.
La pratique intensive du VTT peut accélérer l'érosion des sols, les ruissellements des eaux etc.
Le développement de la neige de culture peut nuire aux milieux aquatiques.
Les filtres de cigarettes jetés dans la rue, entraînés par les eaux de pluie, aboutissent à la mer. Ils peuvent ainsi tuer les poissons qui les confondent avec de la nourriture.
Les ballons lâchés dans les airs, finissent, une fois dégonflés, à la mer. Poissons et tortues les confondent avec de la nourriture et s’étouffent en les avalant.